Petite enfance

Depuis plus de trois décennies, la CNPF et son réseau exerce un leadership au niveau de la petite enfance francophone dans les communautés de langue officielle en situation minoritaire (CLOSM).

Au début des années 2000, le développement de la petite enfance n’était pas au sein des priorités des communautés francophones. Bien que plusieurs personnes s’entendaient sur l’importance de cette période et de son impact, ce domaine était trop souvent relégué au second rang des priorités. Les collaborations n’étaient pas toujours cohérentes et il n’y avait aucune vision commune.
La Table nationale, son Cadre de collaboration et son approche intersectorielle sont tous des éléments clés qui ont conduit à l’engagement collectif de partenaires au sein d’un projet d’avenir avec au cœur les enfants. Il s’agit d’un véritable projet de société.

Aujourd’hui, plusieurs partenaires sont engagés dans l’action. La petite enfance figure désormais parmi les priorités stratégiques afin d’assurer l’avenir de nos institutions francophones, l’avenir de nos communautés francophones, l’avenir de la dualité linguistique au Canada.

Un leadership s’est manifesté sur différents niveaux

« Belle réussite : la petite enfance
Le Cadre national de collaboration en développement de la petite enfance francophone en contexte minoritaire au Canada réunit 13 partenaires qui travaillent pour le mieux-être des jeunes enfants, dont la Commission nationale des parents francophones en tête de peloton. Véritable modèle de partenariat multilatéral, ce cadre s’appuie sur les nouvelles connaissances en développement de la petite enfance et la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant. On y présente une vision commune du développement dans laquelle le rôle des différents partenaires est expliqué. »

La pyramide de gauche est une pyramide sociale quant à celle de droite elle représente le seuil de profitabilité d’un service de garde. Ces deux pyramides sont révélatrices d’une incongruence entre l’importance d’investir le plus tôt possible auprès des jeunes enfants et la viabilité financière d’un service de garde en fonction des différents groupes d’âge.